Les professionnels qui sont en lien avec les mineurs vont faire le constat que le protoxyde d'azote fait désormais partie de l'arsenal des proxénètes ou bien des violeurs.
Un système qui profite aussi des défaillances, de la police, pas assez défective, on l'a vu sur le terrain, et de la justice qui souvent, à l'issue des garde à vue, laisse repartir libres les proxénètes.