Deuxièmement, il y a quand même chez Montaigne une analyse de ce qu'on appelle aujourd'hui l'aliénation, même une sorte d'auto-aliénation dans l'action.
Le Larousse en ligne définit l'aliénation comme, je cite, « la situation de quelqu'un qui est dépossédé de ce qui constitue son être essentiel, sa raison d'être et de vivre » .
Et certainement ce qui était à l'origine, la phrase, le mot, la parole, qui ont été à l'origine de ce passage à l'acte, et il se posait la question de savoir s'il n'y avait pas des signes d'aliénation mentale.