Ces politiques pourraient, par exemple, comprendre l'affectation d'une proportion déterminée de la «taxe aviation» aux efforts de réduction de la pauvreté dans les pays pauvres, ou une «taxe marginale» spéciale sur les profits dégagés par les entreprises multinationales ou les réseaux commerciaux mondiaux.
Selon les recherches des promoteurs de la taxe Zuckman, elle permettrait de corriger, je cite, une injustice fiscale, qui est que les foyers très fortunés paient proportionnellement moins d'impôts que le reste de la population à cause de l'optimisation fiscale.