Au cours de la première étape, les participants ont défini 21 domaines de risque qui devaient être considérés séparément, à savoir aménagement et érosion des zones côtières; parasites agricoles; cyclones et marées de tempête; déboisement; désertification; sécheresse; séismes et tsunamis; risques épidémiologiques; incendies; inondations; brume et brouillard; dégradation des terres; mines terrestres; glissements de terrain, coulées de boue et crues soudaines; dégradation de la mangrove et des récifs de coraux; marées noires; pollution et catastrophes industrielles; tempêtes de sable et de poussière; élévation du niveau de la mer; tempêtes de neige, avalanches et glaciers; et éruptions volcaniques.