Ceux qui mentionnent des pratiques constituant des actes de torture comportent une explication selon laquelle ce traitement était réservé aux cas de « bombes à retardement ».
La MINUSIL a continué de donner aux enfants la possibilité de se faire entendre grâce à une émission radiophonique régulière intitulée « La voix des enfants ».
Il se fait alors embaucher chez lui, à Koenigsbrown, dans une carrière où il dérobe une petite centaine de cartouches de dynamite et pas moins de 125 détonateurs pour la bombe à retardement qu'il commence à fabriquer.